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Nécrologies

Elisabeth Monney


Pont (Veveyse), née Hassler

C’est en ce dimanche de la Toussaint qu’Elisabeth Monney s’est en allée paisiblement après une courte maladie supportée avec courage et dignité. Elle venait d’avoir 75 ans.

Un dernier hommage lui sera rendu mercredi après-midi en l’église de Porsel dans l’intimité de la famille et de ses proches, étant donné les exigences de la situation sanitaire.

Elisabeth est née le 11 septembre 1945 à la ferme St-Joseph, à Blessens, dans le foyer de Clémence et Gaston Hassler. Elle était l’aînée d’une fratrie de cinq enfants. Après ses écoles primaires à Blessens, elle suivit l’école ménagère à Fribourg, avant de revenir à la maison pour aider dans l’exploitation familiale. Puis elle débuta chez Siemens à Palézieux où elle effectua différentes t�ches, notamment le bobinage et la soudure.

En 1968, elle épousa André Monney, de Pont, village dans lequel ils s’installèrent. Ensemble, ils connurent la joie d’avoir deux enfants, Bernard et Chantal, puis deux petites-filles, Cindy et Céline.

Elle accueillit dans son foyer d’autres enfants du village dont elle s’occupa tout en élevant les siens. A leur adolescence, elle reprit un travail chez Sokymat SA, à Granges (Veveyse), jusqu’à sa retraite. Elle y fit de nombreuses connaissances et garda des contacts étroits avec certaines de ses collègues, devenues des amies au fil des années.

Son plaisir était de confectionner des g�teaux et biscuits qu’elle redistribuait généreusement à son entourage et à sa famille. Elle partageait aussi de bons moments de convivialité en jouant aux cartes. Elle fréquentait aussi les lotos du village, soutenant ainsi les sociétés locales.

Elisabeth aimait le contact avec les gens. Sa générosité et sa nature serviable l’amenèrent à s’engager au service de la paroisse, notamment en donnant de son temps pour rendre visite aux malades et aux personnes �gées. Elle s’investit également pendant plus de quarante ans dans la section des samaritains.

Ces dernières années, son état de santé s’est gentiment dégradé jusqu’à ce qu’on lui découvre un cancer en août dernier. Elle s’est résignée avec courage et dignité à accepter cette maladie.

Dans la nuit de samedi à dimanche, Elisabeth s’est endormie paisiblement à la Villa St-François, entourée de son mari, de sa famille et des bons soins de

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