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Nécrologies

Francis Perroud


Attalens

Francis Perroud s’est éteint le 12 novembre à l ’HFR Fr ibourg , dans sa 86e année, entouré de sa famille. Un dernier hommage lui a été rendu le 16 novembre en l’église d’Attalens.

Fils de Fernand Perroud et Marguerite Gabriel, Francis est né le 28 août 1935 à Attalens. Il passera toute sa vie dans ce village qui comptait beaucoup pour lui. Etre l’aîné d’une fratrie de cinq enfants l’a certainement prédestiné à s’imposer souvent comme meneur.

Tour à tour conseiller de paroisse durant plus d’une décennie, près de vingt ans au Conseil général – qu’il a présidé en 1990 – membre fondateur de la Société de développement, responsable des cuisines lors de la fête de paroisse ou d’un giron des musiques, Francis Perroud s’est donné sans compter pour son village.

Mais ce qui comptait le plus pour lui, c’était le foot. D’abord comme joueur, puis durant un quart de siècle au comité du club, dont dix-sept années passées à la présidence. Il aura été la cheville ouvrière de la grande époque du FC Attalens. Tout en y associant sa famille, il faisait passer son foot avant tout!

Son métier, il le considérait comme un art, tant il lui tenait à cœur de préparer de manière irréprochable ce qui lui était confié. Sa réputation de boucher de campagne n’était plus à faire, il passait tous ses jours de congé de l’hiver à sillonner la région.

En 1957, Francis Perroud épousa Elsa et, avec ses deux enfants, Dick et Anne-Claude, arrivèrent rapidement des responsabilités supplémentaires. Il était autoritaire, mais un père aimant, qui leur a offert une enfance heureuse. Sa famille était sa fierté. Il éprouvait tellement de plaisir à parler de ses quatre petits-enfants, Virginie, Marc, Emilienne, Lionel et leurs conjoints, de ses quatre arrière-petits-enfants Roméo, Noah, Olivia et Léon. C’est avec impatience qu’il attendait l’arrivée du cinquième!

Les fêtes de famille étaient importantes pour lui. Il a encore eu la joie de fêter la bénichon et participer au mariage de Marc et Camille.

C’est grâce au soutien inconditionnel de son épouse qu’il a pu mener à bien tout ce qu’il a entrepris. Maintenant, il ne souffre plus et ses proches lui souhaitent un bon voyage. A eux et à tous ceux que son départ laisse dans la peine, Le Messager adresse ses condoléances.

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