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Nécrologies

Marlène Papaux


Semsales

C’est seule, afin de se sentir mieux ailleurs, que Marlène Papaux a décidé de s’envoler au soir du 8 novembre dernier, chez elle à Fribourg. Ses proches et sa famille lui ont soufflé un dernier «je t’aime» le 12 novembre en l’église de Semsales. Elle était �gée de 26 ans.

Marlène vit le jour le 8 octobre 1994 à Ch�tel-Saint-Denis. Elle grandit et fit ses écoles à Semsales, entourée de ses deux grandes sœurs Céline et Nathalie, son grand frère Thierry et sa sœur jumelle Mélanie.

Son parcours professionnel ne fut pas évident. Après avoir commencé un apprentissage de coiffeuse, elle s’est vue contrainte d’arr�ter ce métier en raison d’allergies. Elle se lança alors dans un apprentissage d’employée de commerce, sans toutefois trouver sa voie. Finalement, elle se tourna vers un apprentissage de gestionnaire de commerce et termina sa formation avec de brillants résultats.

En 2018, elle entra à l’école de police. Rapidement, Marlène vit naître en elle une passion pour ce métier. En novembre 2018, elle fut assermentée et continua de s’épanouir dans cette vocation. Sa détermination, son calme, son esprit d’entraide et son écoute lui valurent de nombreux amis, considérés comme sa deuxième famille. Elle était pr�te à donner le meilleur d’elle-m�me dans chacune de ses interventions.

Membre du chœur d’enfants de son village, puis de la Société de jeunesse de Semsales, Marlène aimait particulièrement le sport. Elle pratiqua la gymnastique aux agrès durant de nombreuses années au sein de la FSG S�les. La nature lui apportait aussi beaucoup de bien. Elle appréciait c�toyer les cimes et c’est d’ailleurs au sommet de Teysachaux que ses collègues les plus proches lui ont rendu hommage.

Marlène Papaux pr�tait beaucoup d’attentions à ses proches. Non à travers les mots, mais à travers son regard. Il n’était pas rare de la voir rire et taquiner ses amies lors de soirées ou encore ses deux nièces Léa et Chloé lors de réunions de famille.

Quelques épreuves se sont glissées sur son chemin. Mais l’amour de sa famille prenait toujours le dessus. Désormais, c’est au milieu du ciel qu’elle veillera sur ceux qu’elle aime.

A sa famille, à ses proches et à tous ceux que le départ de Marlène Papaux laisse dans la peine, Le Messager témoigne sa sympathie. Mess.

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