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Veveyse

Deuxièmes, un résultat «incroyable et magnifique»

Evann Favrel (à gauche) et Loïc Deharbe ont terminé deuxièmes du concours national de La jeunesse débat dans la catégorie secondaire I. LE MESSAGER

DÉBATS VEVEYSE

En lice pour la finale nationale de La jeunesse débat, Evann Favrel et Loïc Deharbe ont décroché en duo la deuxième place du concours.

Avant le concours national de La jeunesse débat, le bin�me Evann Favrel-Loïc Deharbe souhaitait aller le plus loin possible pour ne rien regretter. Vendredi passé, ils ont réussi à se qualifier pour la grande finale francophone du lendemain. Le résident de Tatroz et l’Attalensois ont terminé deuxièmes. «Cette expérience apparaît comme une grande réussite», juge Evann Favrel.

Ainsi, leur travail a porté ses fruits. Après une longue préparation pour ce rendez-vous, les deux élèves du Cycle d’orientation de la Veveyse ont montré leur cohésion d’équipe pour défendre l’initiative paysage. «Je pense que nous avons fait la différence par notre bonne répartition du temps de parole. Nous avions également beaucoup d ’arguments et un bon état d’esprit», évoque Evann. Durant cette finale nationale, ils ont débattu avec les meilleures équipes romandes du secondaire I. «Nous avons senti une réelle différence de niveau par rapport au concours régional, qui rassemblait les équipes des CO fribourgeois.» Ce qui ne les a pas emp�chés de décrocher leur ticket pour la grande finale du samedi.

Contre le congé parental

Au tirage au sort, le duo veveysan a dû se positionner contre le congé parental de 32 semaines. «Ce n’était pas l’opinion la plus facile à défendre, mais nous avons mené un bon débat.» Ils ont échoué face à la paire vaudoise de l’établissement secondaire de Corsier.

Evann Favrel et Loïc Deharbe sont plus que satisfaits de leur résultat. «C’est incroyable et magnifique. Quand on a commencé cette aventure, nous étions loin d’imaginer atteindre ce stade du concours de La jeunesse débat.» Les deux élèves veveysans ont reçu les félicitations de leurs camarades et de certains de leurs professeurs. Maxime Schweizer

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