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Veveyse

Roland Mesot coprésident d’Agglo Rivelac

Roland Mesot (à droite) a été nommé coprésident de l’Agglo-Rivelac. DR

Après la démission de son président, l’Agglomération Rivelac a nommé les trois vice-présidents en tant que coprésidents. Roland Mesot assurera la présidence jusqu’au 30 juin 2023.

Le comité de pilotage d’Agglomération Rivelac a retenu la proposition d’élire les trois viceprésidents à la tête de l’Agglomération Rivelac. Les trois personnes désignées sont Roland Mesot, député et conseiller communal de Châtel-St-Denis, Elise K aiser, municipale de La Tour-de-Peilz, et Pierre-Alain Karlen, syndic de Noville. Formellement, la présidence sera assurée, à tour de rôle, pour une année, par l’un des trois coprésidents. Roland Mesot assure ce poste depuis le 1er juillet et jusqu’au 30 juin 2023.

Cette solution a été retenue durant la séance du 30 juin «pour faire avancer les dossiers aux enjeux régionaux d ’Agglomération Rivelac», évoque le communiqué de presse. «Le comité de pilotage a donc opté, après la démission de Christian Minacci le 5 mai dernier, pour la continuité en soutenant la proposition unanime du Bureau de transformer la vice-présidence en une coprésidence.»

Représenter les trois régions

Ainsi les nouveaux responsables assuraient tous trois, depuis le 1er janvier, la fonction de vice-président. «Cette nouvelle forme de présidence garantit la représentation de chacune des trois régions de l’Agglomération Rivelac: la Veveyse, la Riviera et le Haut-Lac.» Chacun d’entre eux possède un cadre bien précis, notamment en termes de géolocalisation. Par exemple, Roland Mesot préside la Coordination des communes de Châtel-Saint-Denis et de la Basse-Veveyse (CoCBV).

«A cette représentation géographique s’ajoute une répartition thématique de la charge de travail entre les trois coprésidents puisque Pierre-Alain Karlen sera chargé de la stratégie régionale de gestion des zones d’activité, tandis qu’Elise Kaiser et Roland Mesot veilleront à l’établissement d’un projet d’agglomération de cinquième génération (PA5) qui fasse également, pour les communes vaudoises, office de Plan directeur intercommunal (PDI).» Maxime Schweizer

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